Mercredi
- L’appel permanent des capteurs de dessins me rappelle un certain univers catégorique.
- Que l’on songe aux traces de manche, aucune validation valable.
- Le café se sucre avec tragique, frère du démembrement.
- Où la réalité se reconnecte avec le dépassement, à chaque vie.
- Il y a souvent eu des mains accrochées au savant blanc.
- L’être au-dessus de l’ours qui mélange le miel se met en colère contre les dames.
- On rencontre au large des claques joyeuses qui tremblent.
- Raconter les flaques d’entêtement, est-ce un roman ?
Jeudi
- Il faudrait qu’on cesse de s’offusquer d’une branche légère.
- La conclusion, encore une autre, d’une bombe qui dure trois ans.
- Écrire au jour le jour empêche la dissimulation.
- Phénomène étrange qui transforme la réalité en une condamnation, voire un pousse au crime.
- Œuvre de terreau digeste, elle devient la joie.
- L’univers se déguste autant que l’utilisation de son propre mot.
- Dehors, penche la satisfaction de l’être suspendu
- De la difficulté à écrire sur la ligne du haut et à s’y tenir.
Vendredi
- Du journal comme exercice, échauffement pour éviter de se casser les dents sur l’écriture.
- Jour 2 du trouble de l’immédiateté : la mémoire non centrifugée.
- Où je constate qu’en effet, ce ne sont que des vendeurs de tapis.
- Repenser son propre rapport à la vérité ne fait pas de mal. Éviter les biais ; ce qui ne signifie pas être plus dans le vrai pour que ça ait un sens vague au moins pour une moule.
- Le délire du chiffre 8. Accompagne le &" qui ne se respecte pas. L’un vaut-il mieux que l’autre ?
- Ne pas se gâcher, encore moins s’empoussiérer dans la compromission. Quand elle dure, elle écorche.
- Le ventre vide, les mains plates, prêtes à déglisser.
- Le journal traverse est actuel et déviant. Il est deux, le livre à venir (l’autre, celui qui n’a pas implosé) et le flux différé.
- Neuvième tiret. Ce jour est orange et neuf.
Samedi
- Bleu-jaune dominant. Légère déception.
- Les mêmes couleurs qui se jettent sur la Rolls Royce fascinent.
- Il est impossible de délivrer plus de cinq manières par arbre.
- L’arbre est un cadeau désespéré.
- La subtilité de l’enchantement se trouve dans l’impolitesse.
- Même s’il aurait mieux fallu affirmer les nombres, leurs contraires sont béats.
- Les fins rallongent les corps, défilent devant les cercueils.
- Où l’a république n’est qu’un substitut littéraire. Les squelettes s’amusent.
Dimanche
- Les heures commencent tôt le matin, on devrait leur enlever leur veste.
- Par la rivière, on explore les entrejambes des escrocs.
- Le citron se boit aussi blanc qu’un concombre.
- Les montagnes soleil nuisent au bon fonctionnement des roues.
- Le journal traverse comme échafaudage d’une vision enjouée.
- Vouloir que l’encre se termine en désert.
- L’impertinence creuse et grise sert pied.
- Et même si l’on se couche sous les pommes, le sac sera trop petit.
Lundi
- Tenir encore, les réserves ne sont pas encore vides.
- En contrepartie, il faut appuyer toujours plus fort, jusqu’à percer le papier.
- Les feuilles vertes qui envahissent le jardin sont appelées miroirs.
- Le spectacle se terminera probablement par un mémoricide.
- L’idée de l’invention est sujet à la disparition.
- Il faudrait savoir s’offrir, parfois, des veines incendiaires.
- La vocation de la résistance. On se croirait enfant.
- Le générateur des clés de barrique sent la Terre.
Mardi
- Contre toute attente, le stylo contient encore de l’encre. Rien n’est terminé.
- Le prochain sera coloré. Ou pas. Et formel.
- L’envahissement des arbres ne vaut que par leur capacité à se distinguer par la manche.
- Le journal traverse est un trou où l’on jette tout ce qui a trop de valeur.
- L’ennui saute sur deux pieds jusqu’à se cogner la tête.
- Il ne tiendra quand même pas longtemps, le bougre.
- L’écureuil survivra, lui. Il s’essouffle un peu. Quoi comprendre ?
- Sous les couches d’homme, on trouve l’éphémère retour du même.