Mon chien ne s’appelle pas Hugo Chavez. De là à prétendre que c’est parce que je n’ai pas de chien, le pas est vite franchi. Bien trop vite et c’est pour cette raison que je n’enjamberai pas cette faille énorme qui vient de s’ouvrir comme ça, là, paf, devant moi. Deux ou trois ailes de papillon, quelques plumes de sang et une belle montre tragique pour nourrir les agencements géométriques de 0 et de 1 qui nous émerveillent. Quelques photons et re-paf.
Après cette magnifique introduction qui ne servit qu’à propulser l’auteur de ces acrobaties langagières dans une mer si froide que seules quelques bactéries anaérobies parvinrent à saisir la subtilité et la finesse des ces tournures littéraires, nous ne pouvions pas ne pas abattre un mouton au hasard.
Voilà ce qu’en dit Wikipédia (c’est important, notez-le bien) :
« Le mouton est l’animal dérivant de l’inflorescence du moutonnier. Les moutons sont des animaux très généralement stériles mais qui, étrangement, parviennent à se reproduire parfois dans le noir, veilleuse éteinte, volets fermés et généralement avec le facteur. Issus de variétés domestiquées, les moutons communiquent par voie nasale en éternuant dans les oreilles de leurs congénères. Les moutons des moutonniers sauvages et de quelques moutonnières domestiques ont de très jolis sacs à main. Les moutons sont généralement laineux lorsqu’ils sont mûrs et à poils quand ils ne le sont pas.
Les moutons constituent un élément essentiel du régime alimentaire de certains pays où c’est vraiment tout mouillé partout et représentent une nourriture de base pour des millions de personnes sous la pluie. »
Tout ça pour dire que même dans le vent, les masses se trémoussent.