Sous l’aile verte
Du gardien froid
Grelotte le dernier train
Qui passe
Jamais aussi raide
Que l’oeuvre écarlate
Qu’il transpire et qu’il boit
S’il tourne le dos
C’est pour sourire
Aux dames
Qui le regardent saillir
Fin comme un pigeon
Et lâche comme une mouche
Le nain entre deux portes
Siffle son nom griffé
Noyé dans la fosse
Monnaie du patron
La tête pliée d’eau
Pèle les claques limées
Où râlent les tâches
Qui le ravissent
Tout ça pour pour dire qu’il faudra s’attendre aux cris...