Sable alarme
Tu n’entends pas l’étranglementdes quelques murmures qui gommentLes images devant les fenêtresTes chiens sous mes piedsSont comme un mur de singesFlous et tenus en laisseTu les dégrammes, ces sourdsCes poinçons timbalesForts feux du poidsQuelque part dans tes cheveuxTu croises le ventriloque mourantCelui des araignées et des vertigesDans le fond de ta gorge il souligneLes petits cailloux marquésAu fer rougePar tes chenilles