Au fond, la dernière cigarette n’est jamais qu’un éternel recommencement. Au delà des mots il n’y a plus qu’un doux murmure de chat tant il est vrai que mémé n’est jamais vraiment loin et qu’il va être un peu tard pour son écharpe en poils de pigeon vu que c’est bientôt l’été mais tant pis c’est comme ça faut pas chercher la pierre de Rosette dans le slip de Champollion. Bref, je tenais, parce que c’est mon rôle de savant qui sait des trucs, à vous éclairer sur la situation mondiale actuelle telle qu’elle est, qu’elle fut et qu’elle sera et que là ça va être un poil de cul gonflant, mais ce n’est pas bien grave dans la mesure où j’ai toujours plusieurs cordes à linge à mon arc et que mon cerveau me soutient même dans les moments les plus difficiles tels que celui-ci qui n’en finit pas de durer, le problème étant que je n’arrive pas à conclure ma phrase dans laquelle je ne vais pas tarder à me noyer mais que non ça y est j’ai enfin retrouvé la touche avec le point. Tout ça pour dire, mes chers amis (mon cul) que ce blog ne saurait être parfait sans un article traitant de l’esclavagisme légal. Il y a, dans notre pays, un fléau. Un train à vapeur protestataire et vaginal dont le plus grand crime est d’avoir oublié le "r" à JR. Je parle bien-entendu, et vous l’aurez compris (malgré l’incompétence picturale dont vous fîtes preuve par le plus grand des hasards dans le dernier métro) des quelques indices laissés volontairement au gré des mots sur ce blog qui pourront enfin vous faire comprendre de quoi que je cause depuis le début, mais sacré nom d’une pipe, un effort d’imagination serait le bienvenu. Merci de ne pas en tenir rigueur et c’est promis, juré, craché, je tâcherai, dans la mesure du temps disponible à consacrer à ce vaste chantier littéraire, de revoir le pointillisme langagier qui fait défaut à un bon nombre des articles parus, tant il est vrai que ça frise parfois l’analphabétisme de pacotille. En gros, pour les plus cons, je vais corriger les fautes d’orthographe dès que possible, mais faut pas non plus me prendre pour un type en vert avec un vomissoir à plombs, dieu m’en préserve (malgré quelques retenues concernant l’existence de dieu, lourd débat déjà rapidement évoqué ici), je n’ai pas que ça à branler.
Le chat virgule énervé virgule a sauté sur Paul point
Vestige fictionnel (archive)
Vos commentaires
Suivre les commentaires : |