Journal #001

Pour me soutenir, c’est sur Patreon

Pas une longue introduction. Je tente le journal en accès gratuit. On verra si je m’y tiens.Le stabilisateur est commandé. Finalement j’ai opté pour une autre marque, Zhiyun (le Weebill 3E). Au début, je pensais que c’était une énième sous-marque chinoise jusqu’au moment où j’ai réalisé que non, c’est le principal concurrent de DJI, la marque phare de stabilisateurs. En soi ça ne change pas grand chose, mais c’est surtout que les retours d’expérience sont nombreux et positifs. Moi-même, je n’avais pas réalisé que j’en avais utilisé un en 2023, pour un mariage, prêté par un réalisateur de Films en Bretagne, pour me dépanner. J’ai donc pu en saisir la qualité, même si c’était un modèle ancien.Je viens de répondre à une question que je me posais en commençant à écrire : et si je réinvestissais www.defilmince.com ? Je délaisse mon site depuis quelques années et c’est bien dommage. C’est le seul endroit, à condition de payer l’hébergement, qui résiste aux variations des réseaux sociaux. La réponse, rapide, est oui. Seconde question : qu’est-ce que j’y mets ? Il y a déjà beaucoup sur Patreon, ça ne risquerait pas de faire doublon ? Réponse est si. Mais est-ce un problème ?

Tant que je tiendrai ce journal (une fois pas an ? Par mois ? Par semaine ? Par siècle ?), il apparaîtra ici pour être lu et sur le site pour être archivé (et lu ? qu’est-ce que je partage ?). Et on verra.

J’ai vu deux fois Kaamelott, second volet, première partie, et ça ne fait même pas une semaine qu’il est sorti au cinéma. Ça fait longtemps que je n’avais pas vécu ça avec un film. Je pense que ce n’est pas un hasard, c’est une affaire de conjoncture. J’entre dans une nouvelle phase de ma convalescence d’après Éducation Nationale (je mets quand même les majuscules, même si elle ne le mérite pas). Faire sans se soucier d’autre chose que faire. Le film parle à mon instinct que l’institution a noyé. Il ne manquait peut-être que ça pour extirper ce que j’ai commencé à travailler avec ma psychologue. Bref, je m’y reconnais et pas qu’un peu.

Ça et le stabilisateur qui va régler un problème qui me pèse depuis, au moins, 2017 année de mes première vidéos au reflex ne sont pas des clés de voûte (il ne faut pas exagérer) mais des catalyseurs. Je ne sais pas ce que ça donnera, ce à quoi ça ressemblera, sinon à quelque chose qui m’échappera au moins autant que le reste. Mais cette fois, ça sera tant mieux.